J’y allais déjà quand j’étais adolescent. Cette compétition me faisait rêver.
Ce qui fait que la Course Saint-Ursanne-Les Rangiers est particulière, c’est la vitesse sur le parcours qui est difficile à assimiler. Il y a aussi une peur lorsqu’on arrive et un bonheur pour les pilotes lorsqu’on franchit la ligne d’arrivée. On a alors qu’une envie : y retourner !
D’y aller étape par étape et de se faire plaisir. Et ne pas tout donner dès la première manche. C’est une Course qu’il faut apprivoiser avant.